INFO-SONDAGES
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- Par REGINE DRAIZE
- Le 15/09/2017
- Dans GÉNÉRALITÉS.
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6 VERITES QUE LES FABRICANTS DE SODAS VOUS CACHENT
- Par REGINE DRAIZE
- Le 11/06/2016
- Dans GÉNÉRALITÉS.
Alors que débute l’Euro de football, les grandes marques de sodas à commencer par Coca-Cola martèlent leur message publicitaire : boire du soda c’est non seulement « cool », mais c’est aussi sain. À grands renforts de sponsoring, et avec la complicité de plusieurs stars du foot, ils tentent de masquer la triste vérité : même en petites quantités, la consommation de boissons sucrées accélère le développement de maladies comme le diabète et l’obésité.
1. Sodas et boissons sucrées sont liés au diabète, au surpoids et à l’obésité
2. Les boissons sucrées augmentent le risque d’obésité
3. Un à deux sodas par jour suffisent pour aggraver le risque de diabète de type 2
4. La moitié des hommes diabétiques souffre d'impuissance
5. Le diabète cause 8.000 amputations par an en France
6. Les sucres et acides présents dans les sodas, même light, favorisent les cariesA LIRE AUSSI: Coca-Cola-france-finance-la-science-pour-mieux-vendre-ses-sodas
Source: foodwatch.org
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Ces 10 aliments qui rendent moins intelligents
- Par REGINE DRAIZE
- Le 15/04/2014
- Dans GÉNÉRALITÉS.
Comme ils existent des aliments qui rendent plus intelligents ; il y a aussi ceux qui rendent bête !
Alors, pour préserver votre QI et fonctionner mentalement à 100%, évitez ces 10 aliments nuisibles à votre cerveau !
Ils risquent sérieusement, d’après des études faites sur le cerveau, d’affecter notre productivité au travail et les capacités de votre enfant à l’apprentissage.Les voici tous réunis, mais surtout, jamais sur une même table !
1 - Les sucres : D’après l’Université de Berlin, l’excès de sucre dans le sang, provoque des problèmes de mémoire.
Il vaut mieux consommer les glaces et bonbons avec modération les enfants ; surtout à la période des examens ! Gâteaux, chocolat et sucettes… ça rend bête !2 - La malbouffe : L’Université de Californie A démontré, suite à des études, que déjeuner souvent dans les fast-foods et consommer régulièrement de la nourriture bourrée de calories et de graisses saturées ou transformées, ça agit négativement sur les capacités intellectuelles.
Mayonnaise, ketchup, frites… Tout ça est néfaste pour les synapses du cerveau et les molécules liées à la mémoire et à l’apprentissage.
Le mieux est de prendre avec soi, au boulot, son sandwich fait maison.3 - La viande rouge : Une recherche de Boston confirme que le fait de consommer beaucoup de viande bovine agit négativement sur la fonction cognitive.
Faudrait-il devenir végétarien ; me diriez-vous ? Non, il faut simplement modérer sa consommation en viande rouge. Une fois par semaine ; c’est suffisant pour rester intelligent !4 - Les glucides simples : Ce sont : le lait non écrémé, la farine et les sucres raffinés qu’on trouve surtout dans les gâteaux.
Ils affaiblissent la mémoire, en particulier chez les patients atteints de diabète de type 2. Les enfants, également, doivent limiter leur consommation en glucides simples ; car ils réduisent la performance scolaire et la capacité à enregistrer les informations communiquées pendant le cours.
Remplacez les petits gâteaux, à la pause entre les cours, par un fruit !5 - Le fructose : On le retrouve dans tous les aliments transformés ; mais aussi dans les aliments auxquels on ajoute du sirop de maïs tels : les sodas, les jus sucrés en bouteilles, les fruits en conserve… Le fructose ralentit, en effet, la connexion entre les neurones du cerveau.
Oubliez donc la canette de soda à la pause-déjeuner ; il vaut mieux !6 - L’alcool : L’alcool provoque une sorte de « brouillard du cerveau ». Il s’agit d’une confusion mentale ; ce qui explique comment certains, étant souls, n’arrivent pas à se souvenir d’une rue ou d’un nom, ou bien même de leur porte. A long terme, l’alcool détruit les neurones du cerveau ; et nuit sérieusement à la capacité mentale de la personne qui en consomme.
7 - Les fritures : Il s’agit de tous les aliments baignés dans de l’huile ou de la graisse chaude. Sachez que ces fritures contiennent des produits chimiques, des additifs, des arômes artificiels et des colorants.
Tous ces derniers provoquent une hyperactivité, affaiblissent notre fonctionnement cognitif et détruisent les cellules nerveuses du cerveau.
A bannir en premier : l’huile de tournesol ; elle serait la plus dangereuse d’après les études!8 - Les édulcorants artificiels : Les édulcorants artificiels contiennent moins de calories, c’est pour cette raison que ceux qui font du régime en consomment au lieu du sucre.
Notez bien que ce produit peut provoquer des lésions cérébrales quand il est consommé régulièrement !
Alors il vaut mieux conserver ses quelques kilos en trop que d’endommager ses neurones ; n’est ce pas ?9 - Les graisses trans : Elles font partie des acides gras insaturés (en hydrogène). Elles ralentissent le travail du cerveau et affectent vos réflexes, voire même, augmentent le risque d’accident vasculaire cérébral. Elles rétrécissent le cerveau car elles endommagent lentement les artères. Le rétrécissement est semblable à la contraction provoquée par la maladie d’Alzheimer. D’ailleurs, à New York, elles sont bannies des cantines scolaires.
Sonia Ben Jaballah
Source: http://www.eddenya.com/
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La méditation agit même sur nos gènes
- Par REGINE DRAIZE
- Le 05/04/2014
- Dans INFO-SONDAGES
La méditation de pleine conscience (mindfulness) induit des changements profonds : l’expression de certains gènes est modifiée.
Cette forme de méditation fait l’objet d’une attention très particulière depuis plusieurs années.
Pour faire court, le principe consiste à concentrer son attention sur l’instant présent et à examiner les sensations qui se viennent à l’esprit.
De nombreuses études ont démontré son bénéfice en particulier contre le stress, la douleur et le burn out. Une action de nature purement psychologique ?
Non, répondent ces chercheurs de l’université du Wisconsin-Madison.
En fait, expliquent-ils, la méditation de pleine conscience agit jusque sur les gènes, avec une influence sur les voies de régulation du stress et de l’inflammation.
L’expérience a réuni deux groupes de participants : les uns étaient des adeptes de longue date de la pleine conscience, les autres ne l’avaient jamais pratiquée.
Un examen préalable n’a pas montré de différence dans l’activité des gènes pris ici en considération.
Ce qui est d’ailleurs une première surprise. Ensuite, les adeptes ont intégré des séances de méditation durant plusieurs heures, alors que dans le même temps, l’autre groupe a participé à des activités calmes, relaxantes. Après cela, de nouveaux tests génétiques ont été réalisés.
Résultat :
La pleine conscience induit des modifications notables, singulières, dans l’expression de gènes connus pour leur implication dans le processus inflammatoire, avec un effet positif aussi sur les niveaux de cortisol (l'hormone du stress), ce qui expliquerait le bénéfice des périodes de méditation sur la capacité de récupération plus rapide à la suite d’une situation stressante. Un impact quasiment immédiat et très ciblé, donc, chez ceux qui maîtrisent bien la technique.
Les auteurs notent que "nos gènes sont très dynamiques et ces données montrent que par la pleine conscience, l’esprit agit sur leur expression". -
La diète végétarienne protégerait contre la diverticulite
- Par REGINE DRAIZE
- Le 20/01/2012
- Dans INFO-SONDAGES
Les végétariens seraient moins à risque de souffrir de diverticulite que les mangeurs de viande, selon une vaste étude épidémiologique britannique1. Pourquoi ?
Vraisemblablement parce que leur alimentation contient une plus grande quantité de fibres alimentaires.
Des chercheurs de l’Université Oxford ont comparé les profils alimentaires de végétariens, grands consommateurs de fibres d’origine végétale (fruits, légumes, céréales à grains entiers, légumineuses, etc.) et de mangeurs omnivores.
Ils ont ainsi suivi un groupe de 47 033 adultes2 durant 11 ans et demi. De ce nombre, environ le tiers était végétarien; les autres étaient omnivores, incluant la viande.
À l’issue de l’étude, les chercheurs ont compilé tous les cas de diverticulite et de diverticulose (une forme moins grave qui précède la diverticulite), ayant nécessité une hospitalisation. Sur 812 cas déclarés, 806 ont mené à l’hospitalisation et 6 au décès.
En comparaison, les végétariens présentaient une réduction de 31 % du risque relatif de souffrir d’une de ces deux maladies par rapport aux omnivores. Le risque d’être hospitalisé ou de décéder de l’une de ces affections était de 4,4 % pour les omnivores, comparativement à 3 % pour les végétariens.
Fait intéressant : parmi les omnivores, ceux qui consommaient une quantité adéquate de fibres végétales (environ 25 grammes par jour) étaient moins à risque d’être hospitalisés que ceux qui en consommaient peu (moins de 14 grammes par jour).
Ces résultats ont fait dire aux auteurs de l’étude que « globalement, la capacité à réduire la fréquence des problèmes de diverticules et d’autres maladies, comme le cancer colorectal, repose probablement sur des changements dans l’alimentation ».3 Ils soulignent cependant qu’il faudra plus d’études pour parvenir à des recommandations valables pour tous.Diverticulite?
C’est l’inflammation de diverticules, des petites « poches » de la taille d’une bille qui peuvent se former dans la paroi du gros intestin ou ailleurs dans le tube digestif. Les diverticules surgissent lorsque des zones de la paroi s’étirent sous la pression.
La diverticulite peut entraîner des douleurs au ventre, des ballonnements, de la constipation ou de la diarrhée. Dans les pires cas, elle peut saigner ou causer une péritonite.1. Diet and risk of diverticular disease in Oxford cohort of European Prospective Investigation into Cancer and Nutrition (EPIC): prospective study of British vegetarians and non-vegetarians. Crowe FL, Appleby PN, et al. BMJ. 2011 Jul 19;343:d4131.
2. Les participants provenaient de la cohorte de l’European Prospective Investigation into Cancer and Nutrition (EPIC)-Oxford. Le groupe ici suivi était constitué à 76 % de femmes, et les sujets étaient âgés de 50 ans à 70 ans. Tous les participants ont répondu à un questionnaire détaillé sur leur alimentation. D’autres questions concernaient leurs habitudes de vie (tabagisme, activité physique, consommation d’alcool, etc.), leur indice de masse corporelle, etc., ont aussi étaient adressées car ces facteurs peuvent aussi contribuer à l’apparition de la diverticulite.
3. Diet and risk of diverticular disease. Humes DJ, West J. BMJ. 2011 Jul 19;343:d4115.Prévenir vaut mieux que guérir!
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L'alimentation des personnes âgées influe sur leurs capacités mentales!
- Par REGINE DRAIZE
- Le 31/12/2011
- Dans INFO-SONDAGES
Les personnes âgées dont le sang présente des teneurs élevées en certaines vitamines et en acides gras oméga 3 ont de meilleures capacités mentales et mémoire que celles consommant des aliments à faible valeur diététique, selon une étude publiée mercredi.
L'étude montre en outre que les personnes âgées consommant ces vitamines et acides gras oméga 3 ne connaissaient pas de réduction du volume de leur cerveau, un phénomène typique observé chez les personnes souffrant d'Alzheimer.
Cette étude, une des premières de ce type, visait à mesurer spécifiquement les niveaux sanguins d'une gamme étendue de nutriments au lieu de se baser sur les résultats de questionnaires portant sur le régime alimentaire, moins précis et moins fiables.
Les auteurs de cette communication, parue dans la revue Neurology, le journal médical de l'Académie américaine de neurologie, en date du 28 décembre, ont déterminé que des hauts niveaux de vitamines B, C, D et E ainsi que d'oméga 3, qu'on trouve surtout dans des poissons, avaient des effets positifs sur la santé mentale et le reste de l'organisme.
"Cette approche montre clairement les effets neurologiques et biologiques bons et mauvais liés au niveau des différents nutriments dans le sang", explique Maret Traber, de l'Institut Linus Pauling de l'Université d'Oregon (Nord-Ouest), co-auteur de cette recherche.
"Les vitamines et les nutriments qu'on obtient en mangeant une grande variété de fruits, de légumes et de poissons peuvent être mesurés à l'aide de bio-marqueurs sanguins", relève-t-elle. "Je suis convaincue que ces nutriments ont un grand potentiel pour protéger le cerveau et le faire mieux fonctionner", selon elle.
L'étude a aussi révélé que le petit nombre des participants dont le régime alimentaire était riche en acides gras trans, abondants entre autre dans les produits laitiers et les aliments frits, ont obtenu de moins bons résultats aux test cognitifs. En outre, la taille de leur cerveau se réduisait davantage.
Dans l'ensemble, les 104 sujets de l'étude âgés de 87 ans en moyenne, avaient un bon régime nutritionnel mais 7% avaient une carence de vitamine B12 et 25% de vitamine D.
Les chercheurs ont testé au total 30 bio-marqueurs de nutriments dans le sang des participants. De plus, 42 ont subi un IRM (Imagerie par Résonance Magnétique) pour mesurer le volume de leur cerveau.
"Les résultats de cette étude sont fondés sur des personnes ordinaires se nourrissant selon le régime alimentaire commun aux Etats-Unis", précise Maret Traber.
"Les résultats de cette étude doivent encore être confirmés par d'autres recherches mais il est très emballant de penser qu'il est possible pour des personnes de potentiellement arrêter la réduction du volume de leur cerveau et de rester cognitivement en forme en ajustant leur régime alimentaire", relève Gene Bowman, de l'Université d'Oregon des sciences et de la santé, un autre co-auteur de l'étude.
Le 28/12/2011 à 23:10 - WASHINGTON (AFP) © 2011 AFPOptimisez votre santé avec le PACK VITALITE
http://www.le-comptoir-malin.com/blog/alicaments/pack-vitalite.html
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Sel: l'overdose des petits
- Par REGINE DRAIZE
- Le 24/09/2011
- Dans INFO-SONDAGES
Sel : l’overdose des petits britanniques
Selon une étude britannique, 70% des nourrissons de 8 mois recevraient des apports en sel excessifs ! En cause, les préparations alimentaires industrielles, le lait de vache et… le pain de mie.
Une équipe de l’Université de Bristol a observé les habitudes alimentaires de 1 200 enfants de 8 mois. Ils ont ainsi découvert que les parents commençaient à introduire des aliments solides dès l’âge de 3 mois ! Or rappelons-le, la diversification alimentaire ne doit débuter qu’à partir du 5e mois.Les apports alimentaires en sel chez ces enfants – difficile de parler de « consommation » étant donné leur passivité à cet égard- se sont avérés être beaucoup trop élevés. Sept nourrissons sur dix étaient au-delà des recommandations fixées à 400mg par jour. Certains en absorbaient même le double. Ces derniers mangeaient trois plus de pain que les enfants du groupe où la consommation de sel était la plus faible.
Les Drs Pauline Emmett et Vicky Cribb, à l’origine de ce travail, ont également constaté que ces nourrissons étaient nourris avec du lait de vache. Lequel contient 55mg de chlorure de sodium pour 100 g, au lieu de 15 mg/100 g dans le lait maternel... Voilà un travail qui donne à réfléchir. L’excès de sel en effet, peut altérer le bon développement du système rénal mais aussi induire une véritable addiction. A noter que pour l’heure, en France, il n’existe pas de données.Source : The European Journal of Clinical Nutrition, 31 juillet 2011
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L'exercice: aussi efficace que les antidépresseurs?
- Par REGINE DRAIZE
- Le 23/09/2011
- Dans INFO-SONDAGES
L’exercice: Aussi efficace que les antidépresseurs?
Une étude récente menée aux États-Unis confirme qu'un programme d'exercices est aussi efficace que les antidépresseur les plus puissants pour réduire les symptômes de la dépression. L'étude portait sur 156 sujets dépressifs qui ont été divisés en 3 groupes: le groupe exercice, le groupe médicament et le groupe médicament plus exercice. Après 16 semaines de traitement, tous les patients étaient devenus moins dépressifs, y compris ceux du groupe exercice.
«Prendre une pilule est une approche passive. On la prend et on attend l'effet. Avec l'exercice, c'est différent. Le patient a le sentiment de contrôler d'avantage son traitement, car il agit de façon concrète pour que son état s'améliore. De plus l'exercice améliore l'estime de soi, ce qui fait défaut chez les gens dépressifs.»
Un moyen efficace de prévenir la dépression et le suicide chez les jeunes adultes
Des chercheurs du National Institute of Mental Health, aux États-Unis, on suivi pendant 8 ans 1 900 femmes en bonne santé mentale. Au terme de l'étude, les femmes physiquement actives présentaient, d'après certains tests mesurant l'état de santé mentale, 50% moins de risques que les autres de devenir déprimée au cours de la prochaine décennie.
Une autre étude publiée dans la revue Medicine & Science in Sports & Exercise, et menée auprès de 4 700 étudiants et étudiantes de niveau collégial, révèle que les comportements suicidaires étaient 2 à 3 fois moins présents chez ceux et celles qui étaient membres d'une équipe sportive que chez ceux et celles qui ne pratiquaient aucun sport.
En somme, l'activité physique s'avère un merveilleux tonique pour le moral, sans compter qu'elle coûte deux fois rien et qu'elle peut être prescrite à toute personne en panne sur le plan émotionnel.
Source: À vos marques, prêts, santé!
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Perte de poids: préserver sa masse musculaire grâce aux protéines
- Par REGINE DRAIZE
- Le 16/09/2011
- Dans INFO-SONDAGES
Perte de poids: préserver sa masse musculaire grâce aux protéines
Mesdames, vous vous demandez comment éviter de perdre du muscle lorsque vous maigrissez ? Les chercheurs de l’Université de l’Illinois vous apportent une réponse. L’étude qu’ils ont menée auprès de femmes ménopausées a mis en évidence que la consommation de protéines favorisait le maintien de la masse musculaire durant un régime hypocalorique.
Les auteurs ont suivi 31 femmes ménopausées âgées en moyenne de 65 ans et ayant un excès de poids afin d’évaluer l’impact d’une consommation importante de protéines durant un régime amaigrissant sur la masse musculaire et la fonction physique. Durant les 6 mois de suivi, les femmes au régime ont reçu soit un supplément de protéines en poudre (25 grammes, 2 fois par jour), soit un placebo.
Résultats : les femmes qui ont reçu des protéines ont perdu légèrement plus de poids que les autres (3,9 % de plus). La supplémentation en protéines permet également de ne pas perdre trop de masse musculaire durant l’amaigrissement et a ainsi un effet positif sur l’équilibre et la réalisation des tâches quotidiennes.
Bien choisir: www.ct-well.fr
Référence:
Mojtahedi MC, Thorpe MP, Karampinos DC, Johnson CL, Layman DK, Georgiadis JG, Evans EM; The Effects of a Higher Protein Intake During Energy Restriction on Changes in Body Composition and Physical Function in Older Women. J Gerontol A Biol Sci Med Sci. 2011 Jul 27. -
Obésité et surpoids des enfants, attention aux risques futurs !!!
- Par REGINE DRAIZE
- Le 10/09/2011
- Dans INFO-SONDAGES
Obésité et surpoids des enfants, attention aux risques futurs!!!
L'obésité en 2006, c'est 12,4% de la population, soit 6 millions de personnes. Le surpoids quant à lui, concerne 29,2% de personnes, soit 14 millions de gens. Il faut savoir que le surpoids touche beaucoup plus les hommes que les femmes. Les enfants ne sont pas épargnés, puisque 1 enfant sur 6 est en surpoids. Il faut donc faire l'effort de faire un dépistage sur les enfants à risque.
Il est très important de suivre le tracé de la courbe de corpulence ou Indice de masse corporelle qui varie selon l'âge. Normalement cette courbe augmente la première année de naissance, puis se met à diminuer jusqu'à l'âge de 6 ans, car l'enfant va normalement grandir plus vite qu'il ne va grossir.
La remontée de la courbe de l'indice de masse corporelle, survient vers l'âge de 6 ans, il s'appelle le "rebond d'adiposité". Si le rebond d'adiposité survient avant 6 ans, cela signalera un facteur réel de risque d'obésité pour la suite. Plus le rebond d'adiposité va survenir tôt dans la vie de l'enfant, plus le risque d'obésité est élevé.
Donc un conseil, attention à l'alimentation de l'enfant, une alimentation trop riche en protéines animales est un grand facteur d'obésité.Dès la plus tendre enfance, il faut donner de bonnes habitudes alimentaires aux enfants, leur faire pratiquer un sport, faire attention au grignotage, leur faire boire de l'eau et non du soda, bien trop sucré.
Il faut savoir que l'obésité infantile, ne cesse d'augmenter depuis les années 1990, la France est de moins en moins "épargnée" par rapport aux Etats-Unis, et à certains pays européens, tels que l'Allemagne et l'Angleterre. L'obésité peut être épargnée grâce aux mesures préventives.
Il est bon de préciser que l'obésité n'est pas une fatalité !!!La génétique rend plus vulnérable aux effets de l'environnement, mais les facteurs qui prédominent dans l'obésité sont dans la majorité des cas d'ordres et de cas comportementaux, de mauvaises habitudes, en somme.
Pour que l'enfant ne devienne pas obèse, il faut surveiller son régime alimentaire, éviter les aliments riches en gras et en sucre, charcuteries et de viandes grasses, les fromages gras, les pâtisseries, les biscuits salés et sucrés, les crèmes glacées, les sodas etc... Il sera judiciable pour cuisiner d'employer des huiles végétales, huile d'olive, huile de colza etc...BIO plutôt que du beurre, plutôt privilégier dans l'alimentation de l'enfant, les légumes verts et les fibres.L'enfant fera aussi du sport. Pour lutter contre l'obésité, il faut penser qu'il vaut mieux prévenir que guérir. sport et alimentation c'est le ticket gagnant pour lutter contre l'obésité. Pour les enfants en surpoids ou obèses, n'employer jamais de régime tel qu'il soit, sans en parler à votre médecin ou diététicien, un bon régime en cas d'obésité est un régime sur mesure et personnalisé.
En cas de surpoids ou d'obésité chez l'enfant, l'objectif du soignant sera de modifier progressivement les habitudes alimentaires, d'effectuer un suivi sur le long terme, sans tomber dans l'excès d'être trop restrictif. Réduire le poids, est bien évidemment, une diminution des apports énergétiques, mais en douceur.
COMPRENDRE:
http://www.usa.makelifebetter.com/tools/video.php?video=192AGIR:
www.ct-well.frLes boissons "light" donnent du bidon!
Des chercheurs américains ont mesuré le tour de taille de près de 500 hommes de 65 à 74 ans et ont suivi son évolution en fonction de leur consommation de boissons gazeuses édulcorées.
Et, plus les hommes consommaient de boissons gazeuses sans sucre dans la journée, plus ils ont grossi! Plusieurs études avaient déjà montré que la consommation d'édulcorants artificiels pourrait contribuer à l'incidence de l'obésité et du diabète...sans oublier les autres problèmes liés notamment à l'aspartame!....Et si vous buviez de l'eau "pure" et éventuellement pour varier " Energy Pure"?
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Nourriture et émotions: c'est notre estomac qui parle!
- Par REGINE DRAIZE
- Le 08/09/2011
- Dans INFO-SONDAGES
Nourriture et émotions : c'est notre estomac qui parle !
A quoi est due notre envie de glaces, de chocolat, de chips, bref de gras et de sucré ? Est-ce seulement lié aux émotions que le goût de ces aliments nous inspirent ? Une étude belge montre que les choses sont un petit peu plus compliquées que cela!
L'impact des nourritures grasses sur nos émotionsPour étudier l'impact des aliments gras sur notre cerveau, des volontaires ont été branchés à des sondes contenant soit une simple solution saline, soit une solution avec des acides gras.
En même temps, les participants écoutaient soit une musique triste, soit une musique neutre. Ils pouvaient aussi voir des visages exprimant les mêmes émotions.
Conclusion : les personnes qui avaient reçu des acides gras, étaient moins sensibles aux effets d'une musique triste. Ce résultat était confirmé par un questionnaire (humeur ressentie), mais aussi par une IRM fonctionnelle du cerveau (activité des différentes zones associées à la tristesse).Alors, j'ai raison de me jeter sur du chocolat quand je déprime ?
Raison ou pas, disons en tout cas que ce n'est pas seulement une question de gourmandise : la graisse qui atteint notre système digestif améliore notre humeur, même quand elle ne passe pas par les papilles. Notre système digestif communique directement avec notre cerveau.
Mieux comprendre les relations entre graisse et émotions
L'épidémie d'obésité est aujourd'hui planétaire et touche particulièrement les enfants. Quant aux troubles du comportement alimentaire (boulimie, anorexie), ils sont eux aussi de plus en plus fréquents et de plus en plus répandus. Il est donc important de mieux comprendre les relations entre ce que nous mangeons et nos émotions.