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Déficit d'Attention au féminin: une situation infernale.
- Le 26/06/2011
- Dans PSYCHO - EXISTENTIEL
Femmes avec déficit d'attention: une situation infernale
Que représente pour une femme le syndrome de déficit d'attention, avec ou sans hyperactivité?
On entend souvent parler dans le public du trouble d'hyperactivité et du déficit d'attention (TA/DA), mais ces discussons sont surtout centrées sur la partie "hyperactivité", qui est en fait le problème le moins grave. Les premières recherches se sont concentrées sur les jeunes garçons qui étaient turbulents à l'école et les premières statistiques laissaient penser que les filles étaient moins touchées que les garçons. Des études plus récentes se sont intéressées au problème du déficit d'attention, et les médecins ont découvert que les filles et les femmes étaient plus souvent touchées par le déficit d'attention. Ils ont en outre découvert que les filles, lorsqu'elles sont hyperactives, ne manifestent pas les mêmes symptômes que les garçons.Quelle est la différence entre le déficit d'attention avec hyperactivité et le déficit d'attention sans hyperactivité (déficit d'attention de type inattentif) ?
Dans son livre " Femmes avec un déficit d'attention " (Women with Attention Deficit Disorder) Sari Solden fait un résumé des principales différences dans un tableau.Symptômes
Déficit d'Attention sans Hyperactivité" des jeunes perdus qui dérivent et flottent tranquillement en bordure du cadre de vie habituel "
Attention : Rêve éveillé
Perdu dans leur monde intérieur
Fait une seule chose à la fois
Activités: Hypo-actif
Travaille et pense lentement
A de la peine à commencer quelque chose Hyperactif
Impulsivité: Evite de manière excessive les changements d'activité ou de mode de vieDéficit d'Attention avec Hyperactivité
Attention:Très facilement distrait par des stimulis extérieurs
Fais beaucoup de choses à la fois
Activités: Hyperactif se précipite dans le travail
Ne peut pas s'empêcher de bouger
Impulsivité: Agit de manière impulsive, sans réfléchir préalablementEn quoi les filles se différencient-elles des garçons ?
Les filles affectées d'un déficit d'attention, avec ou sans hyperactivité, ont tendance à se retrouver dans l'un des quatre profils suivants, aucune d'elles ne rivalise jamais avec le comportement bruyant et turbulent des garçons.
1-Julie aime jouer avec ses frères, courir et grimper aux arbres ; mais à la maison, elle est plutôt calme et aime faire plaisir à son papa. Les gens l'appellent un " garçon manqué ". Elle se donne de la peine à l'école, mais est désordre et a souvent des lacunes ; ses résultats médiocres sont acceptés, parce qu'on pense que c'est ce qu'elle peut faire de mieux.
2-Donna est assise tout au fond de la classe, elle regarde souvent par la fenêtre ; mais lorsque sa maîtresse l'appelle, elle fait un grand sourire et se donne beaucoup de peine pour faire ce qui lui est demandé. D'autres fois, on pense qu'elle est attentive, mais en réalité elle est complètement perdue et incapable de suivre les explications de la maîtresse. Elle travaille plus lentement que les autres, et elle n'arrive souvent pas à finir ses leçons. Mais, comme elle est gentille et coopérative, personne ne soupçonne qu'elle a un problème. On pense juste qu'elle est rêveuse ou " dans la lune ".
3-Susanne parle et rit continuellement, elle pense souvent à la prochaine récréation ou à la fête du week-end prochain. Lorsqu'elle essaie de relater des évènements, elle est souvent très désorganisée, elle saute du coq à l'âne. Sa compagnie est amusante, parce qu'elle est enthousiaste et pleine d'idées, mais elle se vexe très facilement, si quelqu'un n'est pas d'accord avec elle. Elle parle énormément et elle est hyper-émotionnelle ; elle agit quelquefois " bêtement " pour cacher son manque d'organisation et ses oublis. En grandissant, son hyperactivité pourrait la conduire à faire des expériences risquées avec la cigarette, la drogue ou la sexualité, pour contre-balancer ses résultats scolaires décevants.
4-Déborah a très bien réussi sa scolarité et ses études, elle a un titre universitaire et un excellent emploi. Elle a cependant travaillé très dur pour obtenir son titre, bien plus dur que ses homologues. Ses problèmes d'attention ne sont devenus évidents que plus tard, lorsqu'elle se maria et eut des enfants. La complexité de la conjugaison de la vie professionnelle avec les enfants et le mari, la conduisirent alors à une grave dépression.
Les garçons hyperactifs reçoivent généralement l'aide dont ils ont besoin, parce que leur comportement dérangeant attire l'attention de l'entourage sur leurs problèmes, tandis que les filles ont souvent un meilleur comportement et n'attirent pas l'attention de la même manière. On pense qu'elles ont juste un problème de caractère et non un problème d'attention : Julie n'est pas très féminine, Susanne est simplement bavarde et pas très scolaire, Donna est juste un peu lente et Déborah a un " baby blues ". On pense rarement au syndrome de déficit d'attention et/ou d'hyperactivité.
Que se passe-t-il lorsque ces filles grandissent ?
Beaucoup d'enfants avec des problèmes d'attention deviennent des adultes avec des problèmes d'attention en grandissant. Les symptômes visibles chez les adultes comprennent la désorganisation, une sensibilité émotionnelle exacerbée, des faibles performances, une mauvaise estime de soi, des relations sociales perturbées ou la dépression. De tous ces symptômes, c'est la désorganisation qui est le plus caractéristique.
La désorganisation peut prendre des proportions gigantesques. La désorganisation se manifeste dans les armoires qui débordent, les piles d'affaires pour bébés, les rendez-vous manqués, les arrivées tardives à répétition, les pensées confuses. Tous ces signes indiquent un système d'attention perturbé.
Une femme raconte qu'elle a tellement de choses à faire et qu'elle ne sait pas par où commencer, elle ajoute qu'elle s'assied alors tout simplement. Sari Solden nous dit, que lorsqu'elle travaillait comme thérapeute, elle ramenait les tâches administratives avec elle à la maison tous les soirs et tous les week-ends pour " s'organiser "
Il y a, en plus, un sentiment de frustration et de honte à trouver si difficile, ce que les autres font si facilement, un sentiment d'abandon à voir les amis et les collègues aller de l'avant dans la vie, alors que vous semblez rester prisonnière à ranger des papiers continuellement, des papiers qui s'envolent immédiatement. Les autres cessent de vous demander ce que vous faites aujourd'hui, parce que la réponse est toujours la même : " organiser ".Description d'emploi: épouse, mère
Les femmes qui ont un trouble d'attention sont doublement handicapées, à cause des attentes de la société quant à leur rôle de femme, en tant qu'épouse et de mère, deux rôles qui exigent des grandes qualités d'organisation.
Considérez un instant ce que signifie un déficit d'attention. Vous connaissez les variateurs d'éclairage qui permettent de régler la luminosité d'une lampe : doux et agréable pour une soirée intime, puissant pour le travail. Le cerveau a besoin de courant électrique pour fonctionner, comme votre lampe. Avec le déficit d'attention, le cerveau utilise mal la dopamine dans les synapses, comme un variateur de lumière qui freine trop le courant. Les cerveaux ADD manquent effectivement de courant, il leur faut une grande simulation pour obtenir de la puissance. La nouveauté et le risque sont des facteurs qui éveillent les gens affectés de déficit d'attention.
Revenons à notre ménagère, qui doit faire face, chaque jour, aux mêmes nombreuses tâches quotidiennes : la même vaisselle à mettre dans le lave-vaisselle, puis à ranger, les mêmes chaussettes sales à rassembler, à laver, puis à remettre par paires et à ranger, les mêmes chemises à repasser. Tout ceci est bien ennuyeux. Il y a ensuite les enfants à habiller, à nourrir, à faire sortir, à mener chez le médecin ou à la leçon de tennis, les réunions à organiser… de nouveau ce mot : " organiser ". Décider ce qu'il faut faire en premier, ce qui est le plus important, ne pas oublier d'aller chercher les habits à la teinturerie - tout ceci nécessite un cerveau actif, mais le cerveau avec un déficit d'attention fonctionne avec le variateur positionné au minimum. Susanne, qui a quitté l'école aussi vite que possible, ressent les mêmes échecs dans sa vie de ménagère.
Dans le monde du travail, la vie peut être passionnante ou ennuyeuse. Si une femme comme Déborah, avec son titre universitaire, trouve un travail passionnant qui constitue un défi à ses compétences, elle peut y arriver. Une autre femme peut être une planificatrice stratégique brillante, mais elle a de la peine à ranger la vaisselle après le souper. Les femmes comme Julie ou Donna, qui avaient des difficultés scolaires, occuperont vraisemblablement des emplois subalternes qui, comme les tâches ménagères, exigent des compétences qui justement leur manquent: ranger les dossiers, dactylographier sans faute ou se souvenir des commandes des clients du restaurant.
Le monde du travail demande une bonne part de socialisation. Une situation difficile pour Donna, qui vit dans son propre monde, ou même pour Susanne qui est sociale, mais qui a tendance à être trop émotive. Difficile aussi pour Julie, " garçon manqué ": autant les hommes que les femmes chercheront à l'éviter. Difficile pour Déborah, " trop " intelligente.Que faire? Augmenter le variateur de lumière
La connaissance est la première étape du changement pour toutes les personnes qui ont un déficit d'attention, hommes ou femmes. Apprenez à connaître ce qui augmente la lumière dans votre cerveau. Qu'est-ce qui vous intéresse? Donnez une place dans votre vie aux activités qui vous intéressent. Donnez une place aux loisirs.
Deuxième étape, apprenez à demander de l'aide. Les différentes techniques d'hygiène de vie globale et le coaching, décrits ailleurs dans ce site Web, apportent un soutien extérieur qui a déjà aidé de nombreuses personnes, affectées par le syndrome de déficit d'attention et d'hyperactivité, à reconstruire leurs vies. -
Surmonter les troubles bipolaires.
- Le 26/06/2011
- Dans PSYCHO - EXISTENTIEL
Surmonter les troubles bipolaires
Une grande dépression, suivie quelques semaines plus tard d'une phase d'euphorie et d'hyperactivité souvent dangereuse… Le trouble bipolaire est une pathologie grave et chronique, qui doit être traitée. Même si cela prend du temps et de l'énergie, les patients peuvent apprendre à vivre avec leur maladie et à préserver leur vie professionnelle et privée.
Durant la phase dépressive, il est important que les proches soutiennent la personne bipolaire, qui peut avoir des idées suicidaires.
Relativement répandus et pourtant méconnus du grand public, les troubles bipolaires effraient, notamment à cause du comportement apparemment incontrôlable du patient. La maladie évolue par cycles : pendant quelques jours ou quelques semaines, le patient souffre des symptômes de la dépression. Il n'a envie de rien, dort tout le temps, démissionne complètement face aux tâches quotidiennes, a une libido en berne… Quelque temps plus tard, il devient au contraire hyperactif, déborde de projets, dépense sans compter, est totalement désinhibé, commet tous les excès. L'ennui, c'est que ces phases dites maniaques sont souvent vécues par le malade comme des moments positifs car il se sent supérieur et tout-puissant. D'où la difficulté de diagnostiquer la maladie puisqu'il n'évoquera pas ces épisodes devant le médecin.Le premier élément pour mieux vivre avec sa maladie consiste donc à établir le diagnostic avec un médecin. On estime qu'entre 1 % et 2 % de la population souffrirait de troubles bipolaires. Mais beaucoup s'ignorent et tombent dans l'errance diagnostique pendant plusieurs années. Les malades consultent essentiellement pendant les phases dépressives et sont donc soignés pour dépression. Or il ne s'agit pas du tout de la même maladie : les troubles bipolaires sont provoqués par des dérèglements chimiques dans le cerveau différents. Les antidépresseurs sont alors inefficaces. Au contraire, cela risque d'aggraver les symptômes de sa phase maniaque.
Une fois le diagnostic posé, il faut réussir à l'accepter. C'est d'autant moins facile que les maladies de l'humeur sont encore taboues et font parfois honte, à tort bien sûr. Il est essentiel, à cette étape, de se renseigner sur sa maladie, sur la façon dont elle agit sur le cerveau, pour l'apprivoiser. Comprendre pourquoi on réagit excessivement ou pourquoi on sombre permet de relativiser et de déculpabiliser.
Avec le temps, le malade apprend également à reconnaître les symptômes annonciateurs d'une crise, maniaque ou dépressive. Il identifiera aussi les situations qui peuvent potentiellement déclencher un de ces accès et pourra ainsi les éviter ou les limiter. Les réunions professionnelles où l'on brasse les projets, les fiestas survoltées sont globalement à proscrire ou à consommer à faible dose.
La prise régulière et à vie de compléments alimentaires bien ciblés ou des médicaments prescrits par le médecin est indispensable. Il s'agit souvent de médicaments à base de lithium. Ce sel minéral a la propriété de stabiliser l'humeur rapidement. Quelques traitements apparentés existent également. Dans la grande majorité, ces médicaments s'avèrent efficaces. Mais pour ça, ils doivent être pris quotidiennement, quelles que soient les circonstances. Beaucoup de malades, une fois qu'ils se sentent mieux, sont tentés de les abandonner, notamment en raison de possibles effets secondaires (altération de la vigilance, diminution de la rapidité des réflexes…). Pour l'instant, on ne sait pas guérir les troubles bipolaires et seuls les médicaments peuvent permettre d'avoir une vie "normale"(cf.wikipedia). Il est fortement recommandé d'associer ce traitement médicamenteux à un coaching thérapeutique et énergétique ou une psychothérapie.Avoir une bonne hygiène de vie est indispensable pour faire régresser l'apparition des symptômes et le déclenchement des crises. Il est notamment très important d'avoir un sommeil réparateur, avec des heures de coucher régulières et au moins sept heures de sommeil par nuit. Eviter grasses matinées et nuit blanche également… Si certains connaissent des problèmes d'endormissement, faire un peu de sport dans la journée (mais pas le soir) est conseillé. L'alcool à haute dose est particulièrement dangereux chez les personnes bipolaires. On note d'ailleurs une prévalence beaucoup plus forte de l'alcoolisme chez les bipolaires que dans l'ensemble de la population. Mieux vaut donc s'en tenir éloigné autant que possible. Même chose pour tous les types de drogues. L'idéal est d'avoir une vie la plus "réglée" possible.
"Parler avec d'autres malades"
Au-delà du soutien psychologique des professionnels, l'aide des proches s'avère souvent primordiale. Ils ont un rôle clé et très difficile à tenir. Ils sont souvent en première ligne lorsque les crises se déclenchent : c'est à eux de soutenir le malade dans sa phase dépressive, de le gérer dans sa phase maniaque, où lui-même peut alors apparaître comme un boulet, incapable de suivre le rythme. Le proche est également le premier à subir les conséquences des excès du malade, notamment au plan financier. Il n'est donc pas rare que la situation dégénère en conflit, voire en rupture, amicale ou affective. Pourtant, si les deux partis prennent le temps de discuter calmement de la maladie, d'un " contrat " qu'ils peuvent passer, les proches sont alors de véritables béquilles, qui aident à mener une vie harmonieuse. Ils "rattrapent" les excès, aident à ne pas sombrer. Ils doivent être partie intégrante du parcours de soins et rencontrer eux aussi le médecin et le personnel médical qui soignent le patient.Comme beaucoup de maladies chroniques, les troubles bipolaires ont tendance à isoler. Renouer des contacts au sein d'associations de malades représente un double intérêt : socialiser à nouveau et rencontrer des personnes dans la même situation. Il peut ainsi être plus facile de discuter des différents aspects de sa maladie, voire d'obtenir des conseils.
Remettez-vous en phase énergétique..polarisation....coaching
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Coaching pour divers troubles du comportement.
- Le 26/06/2011
- Dans PSYCHO - EXISTENTIEL
La relation coaching
Si vous êtes un adulte qui avez grandi avec un cerveau ne fonctionnant pas comme les autres, vous avez peut-ètre une vision déformée et négative de vous-même et du monde qui vous entoure. Si vous avez maintenant la volonté profonde de changer votre vie, vous avez besoin de clarifier vos vues et de prendre de nouvelles habitudes. Le coaching TDAH vous aidera dans ce processus.
Les gens qui souffrent du syndrome d'hyperactivité et/ou déficit d'attention, de bipolarité, T.O.C....ont le désir de changer parce qu'ils veulent se sortir du désordre qui domine leur vie. Souvent, ils ont de la peine à comprendre comment le monde fonctionne et quelle est leur place dans la société.
Les compléments alimentaires ou à défaut les médicaments peuvent aider le cerveau à mieux fonctionner mais les systèmes de croyances se forment dans la tendre enfance. Si ils ont étés acquis avec un système d'attention qui ne fonctionnait pas bien, ils peuvent avoir étés passablement déformés.La réalisation d'un bilan énergétique est un excellent préambule aussi pour situer les blocages divers.
Les effets bénéfiques du coaching TDAH viennent de l'environnement sûr et amical que le coach entretient ainsi que des question qu'il pose. Ces questions sont des clès que votre coach vous offre pour ouvrir vos propres ressources cachées. Ils vous amenent à réflechir aux autres possibilités, à explorer les perspectives nouvelles et à choisir la direction qui vous convient la mieux.
La mise en application de choix conduit à une attitude de gérant qui contraste avec l'attitude de la victime. Il en résulte une nouvelle perception de soi. Votre coach TDAH est un leader joyeux, bienveillant et qui s'attend à votre réussite. Il est un miroir qui réfléchit vos forces.Le coaching TDAH commence par un inventaire détaillé : où le client en est, où il a envie d'arriver, ses valeurs, ses visions, ses buts, ses capacités d'organisation, de planification, de gestion des priorités et de son temps, et les atouts dont il dispose pour gérer sa vie. Le client choisira alors deux ou trois domaines à travailler dans les séances suivantes.
On peut avoir des séances une fois par semaine, il est aussi possible de le faire par téléphone. Le coach écoute votre rapport hebdomadaire et vos réussites, il vous aide à examiner les problèmes qui sont apparus et vous aide pour les prochaines étapes.La volonté de changement et l'honnêteté sont nécessaire au succès de le coaching. C'est vous qui ferez le travail et les changements d'habitudes. Il est important qu'il s'agisse de votre propre désir personnel et non de celui de votre épouse, de vos parents ou de votre employeur.
Le coach TDAH vous demandera la permission d'être franc et direct avec vous, il peut être douloureux de voir comment les autres vous voient, mais c'est important.
ETES-VOUS PRET(E) POUR LE COACHING?
Utilisez le questionnaire suivant pour déterminer à quel point vous êtes prêt(e) à travailler avec un coach. Répondez aux questions par le chiffre qui vous semble le plus approprié à votre situation actuelle.
Donnez une note de 1 à 5 pour chaque question.1- J'ai géré (ou suis en train de gérer) mes problèmes psychologiques et je suis prêt(e), j'ai la volonté et la capacité d'agir dans le but de créer la vie que je veux avoir.
2-J'ai la volonté de faire le travail. Je comprends que mon coach est là pour m'aider, mais pas pour faire le travail à ma place.
3-Mon coach peut compter sur moi pour être à l'heure à tous mes rendez-vousI Si ceci s'avère être un défi pour moi, je suis d'accord de travailler avec mon coach pour établir des systèmes destinés à m'aider à tenir mes engagements.
4-Je ferai les choses que je m'engage à faire. Si quelque chose s'avère difficile pour moi, j'en parlerai à mon coach afin de trouver une solution qui me permette d'y arriver.
5-Je suis conscient(e) du fait que pour assurer le succès du programme de coaching, je devrai porter un regard différent sur la vie, considérer de nouveaux concepts et expérimenter différentes façons d'agir.
6-Je peux être complètement franc(che) avec mon coach. Je réalise que mon travail consiste à prendre soin de moi-même, et non de protéger mon coach.
7-Si je ne reçois pas ce dont j'ai besoin ou ce que j'attends du coaching, j'en parlerai immédiatement et franchement à mon coach afin d'obtenir les résultats que je veux obtenir de cette relation.
8-J'ai la volonté d'arrêter ou de changer toutes les attitudes négatives qui limitent mes chances de succès.
9-Je suis capable de partager le mérite de mon succès avec mon coach, sans ressentir l'impression que j'ai triché pour ne l'avoir pas acquis entièrement par moi-même.
10-Je considère le coaching comme un investissement précieux pour ma vie. J'ai accordé la priorité nécessaire dans mon budget pour payer le programme de coaching et ne regretterai ni ne souffrirai d'avoir eu à en payer les honoraires.
INTERPRETATION DU SCORE10 - 20 Pas apte suivre un programme de coaching pour l'instant
21 - 30 Apte à suivre un coaching, si les règles de base sont respectées
31 - 40 Apte à suivre un coaching
41 - 50 Absolument prêt(e) à suivre un coaching; demandez à votre coach d'exiger beaucoup de vous! -
Credo Optimiste
- Le 26/06/2011
- Dans BON A MEDITER....!
"CREDO OPTIMISTE"
CREDO qu'il est bon de se les dire ou lire au réveil chaque matin et aussi souvent que possible:Je me promets de parler de santé, de bonheur et de prospérité à toute personne que je rencontre.
Je me promets d'être si fort que rien ne viendra troubler ma paix d'esprit.
Je me promets de faire ressentir à tous mes amis qu'ils ont de grandes valeurs en eux.
Je me promets de regarder le côté ensoleillé de toute chose et de faire de mon optimisme une réalité.
Je me promets de penser seulement au meilleur, de travailler seulement pour le meilleur et de rechercher seulement le meilleur.
Je me promets d'oublier les erreurs du passé et me concentrer uniquement sur mes incroyables exploits futurs.
Je me promets de toujours avoir une expression de bonheur et de sourire à toute personne que je rencontre sur mon chemin.
Je me promets d'être trop grand pour l'inquiétude et trop noble pour la colère , trop fort pour la peur et trop heureux pour la difficulté.
Je me promets de donner tellement de temps pour mon amélioration personnelle que je n'aurai pas le temps de critiquer les autres .
Je me promets de prendre soin de moi et le proclamer au monde , non pas par de grands mots, mais par de grandes actions.
Je me promets de vivre avec la foi que le monde entier est de mon côté tant et aussi longtemps que je donnerai le meilleur qui est en moi.Christian D. Larson "Vos forces, comment les utiliser" écrit en 1912
Beaucoup ont trouvé leur inspiration de ce credo, qui est même utilisé dans certains hôpitaux américains pour aider les patients à guérir. -
16 règles faciles pour trouver l'homme qu'il vous faut!
- Le 26/06/2011
- Dans PSYCHO - EXISTENTIEL
Seize règles faciles pour trouver l’homme qu’il vous faut !
Faire de bons choix – choisir l’homme qui vous convient et éviter les autres – implique que les femmes doivent avoir le courage de remettre en cause les mythes auxquels elles ont cru. Les espérances illusoires qu’elles ont nourries, bien que compréhensibles, limitent leur vision.
Ces faux espoirs empêchent de rencontrer le partenaire qui serait susceptible de devenir un compagnon. L’application des règles qui suivent a un effet libératoire. Elle peut permettre d’avoir des expériences et des rapports nouveaux avec les hommes, agréables et satisfaisants à tous points de vue.Règle n° 1 : Il n’y a pas d’hommes parfaits
L’homme parfait est une fiction romantique. Il n’existe pas. Il existe, en revanche, un nombre incroyable d’hommes bien. Le désir d’être enlevée par le prince charmant vient de l’amour que la petite fille éprouvait pour son père.Règle n° 2 : Les hommes très séduisants peuvent rendre les femmes très malheureuses
Les femmes qui confondent le besoin d’amour et l’amour risquent de le payer cher car les hommes redoutent souvent la passion amoureuse.Règle n° 3 : Vouloir transformer un homme est généralement vain
Les femmes ont autre chose à faire de leur vie que de jouer les Pygmalion.Règle n° 4 : Devenir adulte signifie qu’il faut renoncer à chercher un « papa »
Les hommes désirent une amante, une amie, une compagne – pas une petite fille. Les femmes puériles qui usent en permanence de stratagèmes pour arriver à leurs fins font fuir la plupart des hommes.Règle n° 5 : La colère fait peur aux hommes
Les femmes qui commencent une nouvelle histoire d’amour, chargées du fardeau de leurs rancœurs et de leur amertume, rebutent les hommes.Règle n° 6 : Aucun homme au monde ne peut donner à une femme l’estime de soi qui lui manque
Les hommes ne veulent pas être des sauveurs. Il ne faut pas compter sur eux pour restaurer une estime de soi chancelante. Si elles attendent de leur compagnon qu’il les aide dans ce sens, elles peuvent s’attendre à bien des déconvenues.Règle n° 7 : Les hommes bien ne sont pas ceux qu’on remarque le plus
Les qualités profondes se révèlent en général avec le temps. Les hommes qui font « flasher » peuvent être fascinants au début mais sont souvent incapables de « nourrir » sur une longue durée les besoins affectifs d’une femme.Règle n° 8 : Les espérances sont ennemies de la spontanéité
Une attitude ouverte et tolérante est source de bien des joies et de bien des surprises. Les hommes se défient des espérances masquées. Le manque de souplesse étouffe les relations.Règle n° 9 : Les femmes qui sont à l’aise dans leur peau manifestent autant leur force que leur tendresse
La force alliée à la tendresse est une combinaison magique. La femme intelligente est heureuse d’être femme. Elle a assez confiance en elle et en son pouvoir pour se permettre d’être tendre.Règle n° 10 : Se laisser faire la cour est un jeu délicieux
Les femmes qui savent séduire les hommes savent aussi se laisser faire la cour. Elles n’ont rien contre les rituels de séduction, à condition, bien sûr, qu’ils soient adaptés à leur personne.Règle n° 11 : Il faut faire preuve d’initiative
Qui se nourrit d’attente risque de mourir de faim : la femme intelligente n’attend pas la bonne fortune, elle la provoque. Elle apprend à apprécier le manège amoureux sans être obnubilée par l’issue éventuelle de l’aventure.Règle n° 12 : Les hommes aiment les femmes qui les aiment
Si vous ne cachez pas aux messieurs qu’ils vous plaisent, ils en seront charmés. La chaleur et la tolérance dont une femme fait preuve quand elle rencontre un homme sont les meilleurs catalyseurs pour que le courant passe.Règle n° 13 : Les femmes qui savent écouter sont absolument irrésistibles
Même s’ils ne l’admettent pas, la plupart des hommes aiment être attachés à une femme. Ils ont besoin de quelqu’un à qui parler, quelqu’un avec qui ils se sentent assez en confiance pour se confier sans crainte d’être jugés trop sévèrement.Règle n° 14 : La routine est l’ennemie de la passion
Pour qu’une relation soit vivante, il faut éviter de considérer l’amour de notre partenaire comme un fait acquis. Un peu d’incertitude n’est pas nuisible car le doute a pour effet de stimuler et de piquer la curiosité.Règle n° 15 : Les hommes ne refusent pas de s’engager
Le mythe selon lequel les hommes répugneraient à s’engager sérieusement a la vie dure. Les hommes ont envie de s’engager mais ils se le cachent. La femme intelligente a compris qu’un ultimatum pouvait déclencher une prise de conscience salutaire.Règle n° 16 : Les femmes sont responsables de leur vie
La femme intelligente sait qu’elle peut agir sur son propre destin et fait en sorte de satisfaire, dans la mesure du possible, ses désirs et ses besoins.John Edward Tang
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Le besoin de reconnaissance.
- Le 26/06/2011
- Dans PSYCHO - EXISTENTIEL
DÉPENDANCE AFFECTIVE: LE BESOIN DE RECONNAISSANCE
Qu’est-ce qui vous pousse à vous plier en quatre pour tous, à vouloir être aimé de tous, à vous perdre dans les autres ? Pourquoi le jugement et la critique négatifs vous broient ? Pourquoi êtes-vous terrifié par le rejet ? Pourquoi souffrez-vous de la solitude, du manque d’attention de votre patron, de votre conjoint, de vos amis, de vos enfants ? Ce n’est pas par besoin d’affection : C’est parce que vous avez développé un besoin viscéral de reconnaissance. Je ne peux pas te donner de l’affection si je ne te vois pas ! Ca vous fait plaisir de recevoir un compliment sur votre attitude, votre travail, votre vie, ce qui est tout à fait légitime. Mais quand vous êtes prêt à n’importe quoi pour avoir cette reconnaissance, que c’est plus fort que vous et, surtout, que vous souffrez mille morts lorsque vous ne recevez pas en permanence cette reconnaissance : vous avez un problème.
Plus vous courez après, plus vous vous décarcassez pour en avoir, moins vous en avez. Et ce qui s’inscrit sur votre “site Internet subliminal” c’est : “Je ferai tout et n’importe quoi pour être reconnu, ne me rejetez pas !”. Vous attirez immanquablement des gens qui en profiteront mais ne vous reconnaîtront pas ou si peu, juste pour continuer à profiter de vous.
Vous donnez votre 100 % au travail parce que vous voulez impressionner votre patron et obtenir des compliments : vous allez droit au burnout. Faire bien ce pour quoi vous avez été engagé est suffisant : pourquoi vouloir y passer tout votre temps pour être repéré par le patron, non pas pour une augmentation, mais pour un compliment, une tape dans le dos, des félicitations ? Quand un patron vous donne un bon salaire et des augmentations, c’est suffisant pour comprendre que vous êtes reconnu pour votre travail, non ? Non ! Vous voulez aussi les compliments qui vont avec. Le pire étant que s’il se contente de vous dire que vous êtes bon, sans augmentation, ça peut vous suffire !
D’où vient ce besoin viscéral d’être reconnu ? Les parents nous doivent Reconnaissance + Affection + Protection. Pour aimer quelqu’un, prendre soin de lui, il faut le voir, le reconnaître. Quand vos parents, pris dans leurs propres névroses, ont oublié de vous aimer, de vous encourager, de vous complimenter, de vous encadrer, démontrant que vous existez pour eux, vous risquez de chercher cette reconnaissance toute votre vie.
J’ai entendu dire qu’à l’époque où les humains avaient le corps recouvert de poils, les bébés s’y accrochaient comme le font les bébés singes. Puis Cromagnon s’est transformé et a perdu cette pilosité à laquelle s’accrochaient les petits : il a donc fallu que le bébé trouve un autre moyen d’attirer l’attention de sa mère, étant donné qu’il ne pouvait plus s’y agripper: il a appris à sourire pour l’attendrir et l’attirer afin qu’elle s’occupe de lui. Car pour qu’une mère donne des soins à un enfant, il faut qu’elle le reconnaisse comme le sien ou, dans le cas de celles qui adoptent ou en font un métier, comme un enfant qui a besoin d’elles. C’est à la naissance que se crée le besoin de reconnaissance : l’enfant doit être reconnu par ses parents comme le leur, un membre du clan qu’ils vont aimer et protéger. Sinon, il sera rejeté et abandonné. Dans des orphelinats d’Europe de l’Est, des bébés se sont laissés mourir par manque d’attention : par carence en personnel, ils n’étaient que nourris, mais pas touchés ni dorlotés et restaient dans leur petit lit toute la journée, sans affection. Mais pour recevoir de l’affection, l’enfant doit être reconnu comme un être aimable que sa mère ou une autre personne a envie de chérir.
Nos parents nous doivent reconnaissance, affection et protection. La reconnaissance passe en première car l’enfant, encore une fois, doit être reconnu comme celui de son père et sa mère et comme faisant partie de la famille. Une fois reconnu, il pourra être aimé et les parents prendront soin de lui. D’ailleurs, la formule consacrée quand un enfant né est « il a été reconnu par son père ». Ce qui signifie que le père l’a accepté comme son enfant et qu’à partir de là, il est sensé lui apporter les soins qui s’imposent. La plus grande souffrance pour certains n’est-elle pas d’être de père et mère inconnus ? Ce qui signifie que les parents, la mère en l’occurrence, n’ont pas voulu vous reconnaître comme leur enfant. Vous vous demanderez toute votre vie pourquoi un homme et une femme ont décidé de vous abandonner : ne pas reconnaître que vous étiez leur enfant. Et même si vos parents vous ont élevé, il se peut qu’ils ne vous aient pas reconnus comme un enfant ayant besoin d’affection et de protection, mais comme un souffre-douleur, le symbole de leur vie ratée parce qu’ils ont été obligés de se marier : votre maman est tombée enceinte accidentellement. Ils seront des pourvoyeurs, mais pas des parents, incapables de vous donner reconnaissance, affection et protection, parce qu’ils ne vous ont pas désiré. Ou alors ils vous désirent, mais restent des pourvoyeurs uniquement parce que c’est ce qui leur a été enseigné.
Si je te reconnais comme mon enfant, automatiquement je te donne de l’affection et je prends soin de toi. Un père et une mère ont le fruit de leur amour entre les bras et ils le chérissent comme ils se chérissent entre eux, veillant à ce qu’il soit heureux et bien soigné. Ils l’aiment, le protègent et le cajolent parce qu’ils le reconnaissent comme leur enfant. Mais quand l’enfant est un accident et que ses parents se déchirent à longueur d’années parce que sans la grossesse, ils ne se seraient pas choisis pour époux, ce n’est plus le fruit de l’amour qui grandit, dont il faut prendre soin : c’est le résultat d’une étreinte qui est devenue une prison pour les deux protagonistes. Même quand les parents se sont mariés parce qu’ils se sont choisis, puis déchirés parce qu’incapables d’être heureux, les enfants ne seront que les soldats dont l’un des parents se servira contre l’autre, contrôlant les petits avec la culpabilité : « si tu aimais ta mère, tu ferais cela », « tu vas me faire mourir », « tu vois bien ce que ton père/ta mère me fait », etc.
Quand le père laisse la mère seule avec les enfants et part de longues périodes ou travaille tout le temps pour ne plus rentrer ou s’il rentre, plus personne ne doit faire de bruit ou exister pour ne pas le déranger ; quand la mère se sert de ses enfants pour aller chercher le père à la taverne et pour le ramener, qu’elle laisse ses enfants de côté dès qu’elle a un amant, qu’elle oublie de les nourrir parce qu’elle veut du plaisir, au milieu d’une vie de souffrance, reconnaissent-ils les enfants, comme des petits êtres à chérir, à protéger et dorloter ? Non, ils les considèrent comme des obstacles à leur propre vie, à leur liberté, à leurs plaisirs. Pourtant, fils et filles ne sont pas responsables, essaient de surnager dans une famille « dysfonctionnelle », font leur possible pour plaire à leur mère, à leur père pour être reconnus, avoir de l’attention, de l’affection, exister. L’enfant sent très tôt qu’il est une gène et il tente désespérément de se faire « adopter » par ses propres parents. Mais rien n’y fait : il reste une plaie, un échec, un outil, une arme qu’on utilise pour faire souffrir l’autre ou par se soulager. L’enfant subira les colères, la violence qui est, la plupart du temps, destiné au conjoint mais qu’on n’ose pas frapper. L’enfant paiera pour ce qu’a fait la mère ou le père, il subira tout pour être aimé, ne recevra que des coups et des violences verbales, mais aura au moins la sensation d’exister : pour vous maltraiter, il faut reconnaître que vous existez. Sinon, c’est l’ignorance qui est pire que le rejet.
Car un enfant qui a été frappé aura plus de chance de s’en sortir, s’il fait un coaching ou une thérapie, qu’un enfant qui a été nié. Car pour être frappé, il faut être vu, donc reconnu comme existant mais non comme enfant à choyer. L’enfant nié n’est ni vu, ni reconnu : il n’existe pas. Celui qui est frappé est vu et existe, même si le moyen de communication du parent est la violence. Les mêmes parents qui ont souvent vécu la même chose et répètent ce que leurs propres parents leur ont fait subir : la rancune, la colère, l’écœurement, l’échec, la déchéance. Un enfant a besoin d’une attention constante quand il vient de naître et il lui faut des parents présents et disponibles, heureux pour le rendre heureux. Déjà en déséquilibre, comment des parents pourraient-ils s’occuper affectueusement de leurs enfants ? Encore une fois, il faut être disponible et la souffrance ne permet pas la disponibilité. Si les parents sont entrés en guerre, ils prendront les enfants en otages, en chantage affectif et rendront leurs petits responsables de leur malheur, eux qui s’évertueront toute leur vie à faire de leur mieux pour les rendre heureux… vainement. Car les enfants ne peuvent en aucun cas être responsables des parents ni les rendre heureux. C’est dans l’autre sens que ça marche !
Pas reconnu dans l’enfance, pas reconnu en tant qu’adulte : c’est la suite logique. Et la reconnaissance dont vous avez tant manqué enfant va se muer en besoin insatiable de reconnaissance dans votre vie d’adulte. Vous ferez tout et n’importe quoi pour être reconnu comme un être aimable. Vous vous plierez en quatre pour un conjoint, de faux amis, de mauvais patrons qui profiteront tous de votre besoin de prouver que vous êtes quelqu’un de bien, qu’on peut aimer. Mais ces gens-là ne vous aiment pas : ils vous tondent la laine sur le dos ! Ou encore vous deviendrez une star dans un domaine professionnel pour obliger les autres à vous reconnaître : un performant qui n’a pour objectif que d’écraser les autres pour les obliger à vous regarder en levant le nez. Vous tomberez dans des travers divers et variés pour que les autres vous voient : ça se traduira par une brillante carrière professionnelle ou par le fait de faire la fête et d’offrir chaque soir de paie un verre à tous ceux qui sont dans le bar. Ce ne seront pas vos amis, mais des compagnons de beuverie ou de drogue, qui profiteront de votre besoin d’être reconnu pour se faire payer un coup ou plusieurs. Mais jamais ils ne diront « regarde comme il est généreux », ils diront « on va se faire payer un coup par l’autre idiot ».
Vous aurez besoin d’être reconnu comme quelqu’un de bien par le conjoint, comme un bon travaillant par votre patron, comme un ami généreux par des faux amis, comme un bon voisin qui ne dit jamais non et tout ça par besoin de reconnaissance. Parce que vos parents ne vous ont pas démontré que vous existez sans avoir à le prouver. Vous reconnaître vous-même vous libère du fait de vous faire reconnaître par les autres. Quand vos parents, au travers de leur affection et de leur protection vous ont montré que vous existez pour eux, vous existerez pour vous dans votre vie d’adulte. Vous n’aurez plus ce besoin incontrôlable d’être aimé de tous. Ce qui est d’ailleurs impossible. Vous vous aimerez vous, pour commencer, puis choisirez ce que vous aimerez, conjoint, amis, patrons, etc. Car le besoin de reconnaissance fait de votre vie un esclavage : vous êtes au service de gens qui se moquent bien de vous, comme vos parents se moquaient bien de vous également. Vous répétez ce que vous avez vécu, ce dont vos parents vous ont imprégné. Vous avez grandi esclave de vos parents, vous serez esclave de tous les gens que vous croiserez.
Le pire sera quand vous aurez tout fait pour quelqu’un, conjoint, amis, patrons, relations, et que l’autre ne vous reconnaîtra même pas et vous exploitera jusqu’au bout de ce que vous pouvez donner, pour vous rejeter dès que vous n’aurez plus rien à offrir. Vous souffrirez mille morts car « après tout ce que vous avez fait pour lui/elle », il ne vous a même pas aimé ou remercié ! Bien sûr que non puisqu’il était indiqué sur votre « site internet subliminal » : « prends-moi tout et ne me donne rien, j’ai l’habitude ! ». Vous n’attirerez que des vautours, des charognards de la pire espèce qui profiteront de vous, parce que vous êtes programmé pour vous faire dépouiller. Ou alors vous aurez vous-même pris tout ce que vous pouviez prendre, pour dominer les autres, pour donner des leçons, pour en prendre le contrôle, pris dans un tourbillon, en besoin d’oxygène, prêt à l’arracher aux autres. Jusqu’au jour où vous ouvrez les yeux et le bilan fait mal : vous avez été dans la performance, dans la domination puis dans l’esclavage, tout dépendant de votre passé et de votre histoire, mais vous aurez abouti au même point : ceux qui vous auront tout pris ou dont vous aurez tout pris seront partis et vous resterez seul. Plus vous aurez besoin d’être reconnu et quel que soit le moyen que vous emploierez, moins vous le serez. Parce que la seule personne qui peut vous reconnaître, c’est vous.
Vous reconnaître vous préserve des jugements négatifs, des critiques et des blessures que peuvent vous infliger la jalousie, les peurs et les frustrations des autres. Si vous savez que vous êtes quelqu’un de bien, personne ne pourra jamais vous faire croire le contraire, quels que soient ses commentaires. Personne ne sera en mesure de vous influencer sur l’opinion que vous avez de vous, personne ne vous déstabilisera, personne ne vous ébranlera. Vous reconnaissez vos forces et vos points à développer et quand vous vous regardez dans le miroir, c’est une bonne personne que vous voyez, qui a traversé des tempêtes, qui a fait ce qu’elle a pu pour en sortir et qui vivait selon de mauvaises programmations, qu’elle est en train de déprogrammer. Nous avons pratiquement tous vécu comme des animaux blessés, agressifs et prêts à bondir ou à se soumettre pour un peu d’attention. Pas d’attention sans reconnaissance.
Que fait une femme qui sort dans un bar, quand elle veut avoir l’attention,donc la reconnaissance qu’elle est belle, de la part des hommes? Elle découvre sa poitrine et ses jambes car elle pense qu’elle va attirer l’attention, mais en réalité, son attitude et sa façon de s’habiller, ainsi que ses artifices appellent au sexe ! Elle sera reconnue comme un objet sexuel et non comme une femme possédant de belles valeurs et ayant envie de discuter avec un homme courtois.
Nous avons tous utilisé les pires artifices vous se faire reconnaître du sexe opposé, de nos patrons, de nos clients, de nos amis, etc. Comment faire quand nos parents ne nous ont pas remarqués ? Nous allons mettre « le paquet » pour nous faire reconnaître dans nos vies d’adultes. Jamais de la bonne façon. Les femmes vont utiliser le sexe et les hommes les belles voitures, l’argent, le cliquant. Nous tombons tous dans les mêmes pièges, pour un peu de reconnaissance. Pensant qu’être reconnus, nous donnerons de l’affection. Mais nous ne faisons que nous faire reconnaître par les vautours en mal de proies qui sont faits pour dépouiller, par instinct de survie. Nous ne nous distinguons jamais de la bonne façon et jamais par les bonnes personnes. Parce que les bonnes personnes n’aimeront jamais notre façon de nous distinguer pour nous faire reconnaître, remarquer. Un homme équilibré affectivement n’ira pas vers une femme qui se comporte comme une femelle en chaleur et une femme équilibrée ne se laissera pas « acheter » par le clinquant d’un homme qui joue là-dessus pour séduire. Montrer ses seins ou son argent pour « piéger » est un procédé utilisant des artifices qui attirera des gens artificiels.
Ce besoin de reconnaissance peut être réglé au travers du développement de la confiance et l’estime, car enfin, ce que les parents n’ont pas été capables de nous donner, Reconnaissance, Affection et Protection, c’est à nous de nous le procurer, adulte. Nous ne sommes plus des enfants et si nos parents n’ont pas pu le donner quand nous en avions besoin, ils ne le pourront pas aujourd’hui, alors que nous sommes adultes. C’est à nous de prendre le relai et chaque fois que quelqu’un cherche à nier notre existence, par le rejet ou l’abandon, c’est juste de penser que cette personne a quelque chose à régler, comme vous l’aviez par le passé. Et si quelqu’un vous signifie que vous n’êtes pas la bonne personne pour lui, il vous fait gagner du temps car vous êtes la bonne personne pour quelqu’un d’autre, en amour, au travail ou en amitié.
Vous existez à partir du moment où vous décidez de vous reconnaître : n’attendez pas des autres, ce que vous pouvez faire vous-même!
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Bonheur: Savoir bien s'entourer...
- Le 26/06/2011
- Dans PSYCHO - EXISTENTIEL
Bonheur - Savoir bien s’entourer, pour vivre des expériences enrichissantes !
Juillet est le mois des vacances pour de nombreuses personnes. Les vacances sont l’occasion de se reposer, bien sûr, mais également de multiplier les activités en compagnie de celles et de ceux que nous apprécions. C’est la raison pour laquelle j’ai choisi de vous parler de l’importance des relations dans votre équilibre.
Pensez un instant à l’importance que les autres occupent dans votre vie. Si, pour surmonter plus facilement les événements difficiles, nous devons nous estimer, cette estime de soi découle beaucoup de l’acception ou du rejet que nous avons ressentis de la part des autres. Alors si vous vivez dans un environnement social sain où vous vous sentez appréciés, vous ne mettrez probablement pas en doute votre valeur personnelle. Vous aurez aussi plus de facilité à réussir ce que vous entreprenez et vous bénéficierez d’une personnalité équilibrée.
Puisque les autres influencent autant la manière dont nous nous percevons, nous avons tout avantage à nous entourer de personnes enrichissantes et respectueuses. Comme nos valeurs ou nos activités, nos fréquentations changent au cours de notre vie. Mais même si nous n’en avons pas toujours conscience, nous recherchons habituellement à nous entourer des personnes qui partagent nos intérêts et nos opinions.
Cependant, nous nous entourons aussi de personnes qui partagent nos lacunes… Cette tendance nuit à notre capacité à prendre conscience de nos problèmes et à y remédier. Par exemple, il est plus difficile de réduire notre niveau d’agressivité si nos proches sont eux-mêmes agressifs, puisque cela semble être la norme.
Pour cette raison, nous gagnons à fréquenter des personnes équilibrées qui sont néanmoins différentes de nous-mêmes. Cela nous aide à apprendre d’elles et à vivre des expériences enrichissantes. En effet, pour favoriser notre équilibre, nous devons rechercher le contexte qui l’engendre. Au niveau interpersonnel, ce contexte passe par des relations agréables, du respect, de la coopération ainsi que des échanges stimulants.
Pour créer ce contexte social constructif dans votre vie, vous pouvez commencer par examiner la nature de vos relations avec les autres. Ces relations sont-elles conflictuelles ? Contiennent-elles suffisamment de marques de respect et d’affection ? Communiquez-vous ce que vous pensez ou réprimez-vous vos intérêts et vos opinions ?
Les réponses à ce genre de questions vous aideront à savoir si vous vivez ou non dans un contexte social qui favorise votre épanouissement. Et si vous constatez habituellement que votre milieu social vous nuit, il est peut-être temps de faire quelque chose !
Par exemple, vous avez peut-être remarqué que certaines personnes vous manipulent et suscitent constamment des conflits. Elles rendent vos relations lourdes et désagréables et font ressortir le pire de vous-même. Si vous constatez que vos relations interpersonnelles nuisent à votre équilibre, vous gagnez à investir le temps et l’énergie nécessaires pour faire de nouvelles rencontres. Vous gagnerez toujours à vous entourer de personnes équilibrées, riches d’elles-mêmes, et avec qui les échanges sont constructifs.
Notre façon de nous percevoir joue aussi un rôle important dans les relations que nous forgeons avec les autres. Lorsque nous manquons d’estime de soi, nous montrons aux autres une image négative de nous-mêmes. Implicitement, nous leur suggérons que nous sommes moins dignes d’intérêt que d’autres personnes. Une telle attitude nous expose au risque que les autres nous trouvent moins intéressants… Cela illustre l’importance de remettre en question les interprétations douteuses que nous nous adressons souvent pour ne pas craindre le jugement des autres et leur présenter le meilleur de nous-mêmes.
Cela montre combien il est important de porter attention à vous-même et à ce que vous projetez dans vos relations avec les autres. Car le fait de vous entourer des personnes qui vous aideront à développer votre vie, chaque jour fera toute la différence !Par Nicolas Sarrasin, M.A., Auteur et conférencier
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Êtes-vous Yin ou Yang?
- Le 24/06/2011
- Dans BON A MEDITER....!
Êtes-vous YIN ou YANG ?
Le principe chinois du yin et du yang peut s'appliquer à toute chose dans l'Univers, en fonction de l'énergie ACTIVE (yang) ou PASSIVE (yin) qu'elle dégage. Cette énergie peut varier selon notre environnement ou ce qui se passe dans nos vies, et même en fonction de la lune.
Vous êtes plutôt du type YIN si vous êtes :
Décontracté, lent, vulnérable, gentil et sensible, émotif.
Vous trouvez les autres agressifs, irritants, et pas du tout patients envers vous.
Vous avez l'impression d'être bousculés, stressés, alors que vous avez envie de prendre les choses comme elles viennent, au jour le jour.
Vous aimez rêver, vous êtes tolérant, baba cool, vite fatigué.
Vous aimez plutôt le yoga, la méditation, les activités calmes, vous reposer, dormir, farniente, lecture, télévision, écouter de la musique, et buller sur le canapé.
Vous êtes attirés par les aliments sucrés, les glaces, l'alcool, le café, les bonbons et bien sûr, le chocolat !
Vos couleurs sont le bleu et les couleurs pastels et dans votre déco intérieure, vous privilégiez les gros coussins, l'osier, les tentures, le bois tendre et les formes sinueuses.
Vous pouvez naviguer dans plusieurs degrés de yin : on peut être yin léger ou trop yin, selon que ces traits de personnalité sont plus ou moins accentués. Trop yin si vous vous sentez apathique, ou à tendance dépressif.Vous êtes plutôt du type YANG si vous êtes :
Rapide, actif, battant, tendance à vous emporter facilement, têtu.
Vous trouvez les autres mous, indécis, lents, vous avez envie de les secouer.
Il faut que ça bouge, vous détestez l'inactivité, l'inertie, également lorsque vous êtes au volant !
Vous êtes souvent insatisfait, ambitieux, enthousiaste, très motivé, vous vous souciez beaucoup des détails, vous êtes logiques, précis, organisé.
Vous préférez les sports de combat et la compétition, boxe, karaté, tennis, football, ski, surf, équitation, la course automobile, d'ailleurs vous avez une voiture sport, nerveuse, sinon vous vous endormez!
Les aliments épicés, salés, la viande, les oeufs, les protéines ont votre préférence.
Vous aimez les défis : le jeu d'échecs, les spéculations financières, jouer en bourse ou au casino, au poker.
Vous préférez les couleurs vives, rouge, orange, le noir, les formes géométriques franches, rondes, octogonales, et dans votre intérieur, les sculptures, miroirs, le marbre, le verre, le granit.
Il y a aussi plusieurs degrés de yang, vous pouvez passer de yang léger, ou juste à la frontière entre le yin et le yang, et le yang extrême.
Trop yang, vous êtes colérique, impatient, inflexible, raide, revanchard, carriériste à l'extrême et vous ne vous gênez pas d'écraser les autres.
Quand on pète un câble...excès de yang !!Vous avez certainement un peu des deux tendances.
Repérez certaines caractéristiques qui reviennent plus souvent ou qui vous posent problème à certaines périodes. Dans les moments où vous vous sentez trop yin ou trop yang, essayez d'intéger des éléments de l'autre catégorie (aliment, activité, couleur) pour équilibrer votre tendance et vous sentir plus en harmonie avec vous-mêmes et les autres.
Le juste milieu entre les deux tendances serait une personne confiante, logique, détendue, ordrée et créative, qui sait se relaxer, souple avec de l'aisance gestuelle, qui mangerait de tout de manière équilibrée, qui fait de la danse, de la marche et du jogging, des balades dans la campagne, du jardinage, de la peinture, qui aime jouer aux cartes et l'informatique. (on peut toujours rêver !!!)J.Sauthier